Chapitre II: Voyage en Asean

**Hichbal** Mar 21 Avr - 0:43

Les 6 mois de traversé, me parure tel un cauchemar, car seul face à la mer, j’étais plongé dans mes souvenirs sanglant de Tersainte. Le seul réconfort était les escales sur les petites iles qui m’était inconnue. C’est la que j’ai découvert que ma soif de savoir était immense car malgré quelles me soit inconnues je ne put me contraindre à resté sur le bateau. Je les ai toutes visitées de fond en comble, observant la faune et la flore prenant quelque note par-ci par-là. Nous somme arrivé sur Asean, le troisième jour du sixième mois, par Teck, petite cité portuaire de la côte est. Le capitaine Dionis m’a libéré de mon engagement des lors que nous avions finit le débarquement des diverses marchandises.

Dés lors je me suis mis en quête d’un professeur pour m’enseigné l’ingéniomancie. Mais avant tout il me fallait gagner ma pitance, j’ai donc proposé mais service a toute personne ayant besoin d’aide. Au bout d’un mois je me suis fait remarquer par une riche famille qui me proposa d’entré à son service comme homme à tout faire. Il trouvai sa intéressant d’avoir un homme a tout faire ayant des connaissances en ingéniomancie. Quelque mois après avoir accepté l’offre de la famille Akamatsu, riche famille yatsuraï, celle-ci engagea un ingénomancien nain, affin de leur installé de quoi profité de leur magnifique jardin toute l’année. L’ingénomancien Mécafer Igénio demanda si je pouvais l’assister pour ces divers travaux. La famille donna son accord, je fut ravi car cela faisait longtemps que je n’avais vu quelqu’un autre que moi pratiqué cette science. Il avait pour projet de mettre le jardin sous serre avec un system d’irrigation et un system complexe créant les plantes suivant les saisons. Un jour il m’a surpris en train de m’entrainé à recopier un de ces systèmes, il fut surpris de voir une personne si jeune ayant des connaissances ingéniomantique. Sa l’amusa de me voir si assidue au travail qu’il m’apprit quelques expériences, nous avons sympathisé. A la fin des travaux qui ont pris un mois, j’ai demandé à M. Igénio s’il pouvait me prendre comme apprenti. Il m’a regardé de bas en haut et m’a dit « a tu de quoi payer mon enseignement ». Je lui ai bien sur répondus que non je n’avais pas les moyens de le payer. Il rigola un grand coup puis m’a dit « si tu est prés à faire la boniche pour moi, je serai ravie de d’apprendre se que je sais ». A ce moment j’étais le jeune homme le plus heureux du monde. Je pris le peu de bagage que j’avais et je le suivit après avoir donné ma démission à la famille Akamatsu. Le père Akamatsu me serra la main et di « je comprends ton choix, bonne chance dans ta vie future ».